Prince 57, the number one

Une icône s’éveille, une légende s’éteint.. C’était à la fois un génie, un dandy, un être surnaturel du « Love symbol », qui avait fait de la scène sa « Mégalosoul ».. Il pleuvait des larmes violettes tout prés de la folie et de sa quête, Purple Rain tu m’avais couvert de paillettes, sur ma « Pain » envolés tous les peut-être.. Kiss me baby, le Prince déjanté à l’allure androgyne, avait rouge baiser tous les « ça me dit », à combattre tel un géant sur scène les « Cicaspleen ». Hendrix lui tendait une corde à notes dorée, Prince s’en emparait lui donnant son plus bel apogée, à l’instar de « The Most Beautiful Girl in the World », la vie musicale était son ring où il s’arrachait parfois la peau dans les cordes. . Répandant chaque jour ses hot dreams comme de la cream, sur ses désirs parés des plus fous délires, à scander en cigale d'été “Do you dance?”, couleur arrogance. Créateur ambitieux, éclectique, tout autour de lui devenait bleu électrique, tel un amant des cieux. Chaka Khan de sa voix le faisait danser, en bête de concert à l’instinct exacerbé, plus glamour qu’un seul instant d’amour, au sex appeal plus sensuel que tout ce que l’on « Feel ». Dirty mind genre provoc à faire la fête en « Little red Corvette » comme si chaque nuit était un 31 décembre, à brûler sa vie à n’en faire que des cendres. King absolu du métissage musical, à en brasser tous les genres de la black animale mélodie à la white cérébrale, il n’y aura jamais d’autre que toi, car « Nothing compare to U », foi de Madonna, « Nobody else but you.. Passage de l’opiacé il y avait un rêve qui flottait, c’est là où parfois les anges noirs allaient flirter avec le diable d’un soir.

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